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Un point de vue
Ne nous demandez plus si on a trouvé ça dangereux de rouler et de faire du camping en Turquie, en Iran, dans les paystan ou ailleurs.
La réponse est : NON. Du moins pas plus qu'en Suisse ou qu'en France.
Certes un pompiste turc un peu trop curieux a maladroitement voulu visiter notre tente pendant qu'on dormait, mais il a presque rigolé quand le l'ai assez fermement reconduit dehors.
Certes, un garçon de café turkmène a été pris en flagrant délit de fouillage de saccoches, mais son patron (qui était dans le coup) a obtempéré sans rechigner quand je lui ai demandé (toujours aussi fermement) de nous rembourser tout ce qu'on avait consommé chez lui.
Et certes, un vietnamien n'a pas eu des mots très agréables au cours d'une négociation pour le prix d'un billet de bus (Florian et Marion doivent s'en souvenir) mais heureusement, son courage était plus proportionnel à sa taille (1m10, dans la moyenne vietnamienne) qu'à la grandeur de sa bouche.
Rien de bien grave donc.
On aura finalement attendu 19 mois et l'Australie pour devoir déguerpir de nuit, de peur que de sinistres individus viennent abîmer du matériel, ou pire. Ils étaients français et allemands.
Dimanche 9 octobre, nous voilà posés assez tôt à une aire de camping gratuite immense. Le vent de face a rendu les 80km du jour bien assez difficiles et on se dit qu'en se levant tôt le lendemain, on arrivera à Ayers Rock quand même. A la tombée de la nuit, on voit arriver 3 vans remplis de jeunes français et allemands bien excités par un le gros rocher qu'ils viennent de voir et qui décident de couper le contact à exactement 3,5m de noter tente. Je rappelle que le terrain mesure au bas mot 100m sur 250m.
Deux heures plus tard, ils braillent toujours autant et nous, on a de plus en plus envie de dormir. Je me permet donc d'aller leur demander poliment de bien vouloir redémarrer leur van pour aller se garer de l'autre côté, là où il n'y a personne, pour que tout le monde puisse vaquer à ses occupations en toute quiétude. Ils promettent de bouger dans 5 min.
25 min plus tard, les bouteilles de bières s'entrechoquent toujours aussi régulièrement et j'ai donc l'incroyable culot d'aller leur demander à nouveau, de manière un peu plus ferme cette fois, de bien vouloir bouger leurs ... vans.
S'en suit une discussion animée où cours de laquelle ils nous feront part de leur profond désir d'enculer nos pères, nos mères et nos frères et soeurs. Zidane a mis des coups de tête pour moins que ça, mais une rapide analyse de la situation nous a permis de voir qu'ils étaient en nette supériorité numérique et qu'il n'y avait pas d'arbitre sur le terrain. Au bout de 15 min, ils comprendront malgré tout qu'ils ne boiront pas une bière de plus tranquilles et ils "retrouveront" finalement les clés de leurs vans pour bouger de 30m. Beaucoup de mots donc pour une manoeuvre qui leur aurait coûtée exactement 4 min de sevrage entre 2 gorgées si ils avaient dégagés tout de suite. Je ne comprend toujours pas.
Nous nous sommes donc retournés dans notre maison, le bruit en moins, mais le stress en plus et celà aurait pu en rester là. Des mauvaises nuits, ça arrive.
30 min plus tard, je ne dors pas, forcément et je me relève pour ramasser du linge car le vent se lève (merde ...). Bien m'en a pris car je vois les deux plus grandes gueules de la troupe s'approcher discrètement de la tente. Le moins bête fait demi tour immédiatement mine de rien mais l'autre s'approche à 3 - 4 m pour uriner face à moi et cracher encore quelques molards avant de s'en retourner. Le tout sans un mot échangé.
C'en est trop.
Ces agrégats de stupidité n'ont pas l'air d'avoir assez de neurone en bon état de marche pour s'empêcher de revenir foutre la merde et on les imagine déjà revenir un peu plus tard avec des couteaux pour éventrer les saccoches, les pneus ou la tente.
Il est minuit, on se casse.
10 km plus tard on est un peu calmés et on replante la tente dans la brousse, comme d'habitude.
Et non, on a pas peur des serpents et des araignées non plus, ils font infiniment moins de victimes que les êtres humains entre eux.
Première fois en 19 mois qu'on doit s'enfuir.
En Australie.
A cause de français et d'allemands.
Fin de l'histoire.
"Vous allez où en vacances l'été prochain ?"
"En France ?!!??
Mais vous êtes fous !
C'est dangereux !!
Il y a plein d'européens là bas !"
Rock attitude
Vous reprendrez bien un peu de désert ?
Ca y est, première étape terminée puisqu'on est arrivés à Alice Springs il y a 3 jours.
Si dans l'ensemble c'était beaucoup plus facile que prévu de faire cette portion de 1500km, les 4 jours entre Tennant Creek et Alice étaient du grand "n'importe quoi" :
Le matin du départ de Tennant Creek, mauvaise surprise, la moitié de notre nourriture stockée dans le frigo du camping a disparue et comme par hasard, c'est le seul jour sur les 4 où des aborigènes étaient présents. Bref, mauvais départ, retour à la case supermarché pour racheter ce qui a été volé et compléter les 24 kg de nourriture prévus pour rallier Alice Springs en 5 jours + 1 de secours. (on a toujours du mal à croire à ce chiffre, mais la photo parle d'elle même ; les produits jaunes, ce sont les moins cher ;) ).
Par contre, bonne nouvelle, le vent souffle dans le dos et il souffle fort ! A 13h on a déjà avalé 100km à 27km/h de moyenne. Une moyenne record pour nous. L'après midi se fera plus cool car la route tourne légèrement et le vent passe de côté et on s'arrêtera à 153 km pour camper à côté d'un relais radio, qui nous permet de nous éloigner de la route sans devoir passer par dessous les clôtures qui jalonnent la route sur des centaines de kilomètres. Mais le vent a décidé de faire n'importe quoi donc. Le lendemain, il a tourné de 90°, c'est encore pas trop mal et on tire 125km assez facilement et on en profite pour se faire 500g de pain pour le pic-nic du lendemain. Et c'est le lendemain que ça se gâte vraiment. Jusqu'à 10h, pas de problème, on rencontre même un canadien qui va dans l'autre sens et on se permet de se chambrer pour savoir qui aura le vent aujourd'hui quand il se lèvera.
Autant dire qu'on le maudit le canadien. A partir de 10h, c'est tempête de vent dans la tête.13km/h. Un point c'est tout. En plus tout les mauvais conducteurs se sont donnés le mot : aujourd'hui c'est la fête des cyclistes. Les 4x4 - caravanes passent aussi près qu'il le peuvent, parfois les 2 voitures qu'on voit en 10 min se croisent juste à notre hauteur et évidement celui qui vient derrière ne lève pas le pied pour laisser passer (forccément, il perdrait 13 sec sur son trajet de 4h !) et on a même vu 2 4x4 caravanes se dépasser juste à notre hauteur. Pathétique. Même les road trains, qu'on a pourtant gratifié du prix de meilleurs conducteurs de camions de la planète, même eux se laissent aller et ne nous laisse pas la marge qu'ils prenaient pourtant depuis 1200km.
A midi, on est lessivés, la journée est officiellement labellisée "journée de merde". On mange notre pic-nic mais à 15h, le vent est toujours bien là, pas envie de repartir, mais on a toujorus envie d'arriver à Alice Springs le lendemain matin car c'est samedi et les magasins de vélos seront fermés l'apès midi et il nous en coûterait 2 jours d'attente à Alice pour acheter des pièces détachées manquantes. La solution : rouler le soir et tôt le matin car depuis 3 semaines, le vent s'arrête vers 18h et se lève vers 9-10h, quelque soit la direction.
Banco ! A 18h le vent est toujours là, mais on enfourche les vélos bien motivés. "il va bien se calmer non ?"
A 19h on allume les frontales car évidement, c'est la nouvelle lune, pas moyen de compter sur elle ! On ne voit pas grand chose, par contre on sent bien que ça a brûlé il y a pas longtemps, l'air est rempli de cendre, idéal pour bien s'oxygéner !
A 20h30 on est cuits. On mange notre salade de semoule au bord de la route en comptemplant les étoiles en espérant toujours. Etoiles filantes en primes.
A 21h et 122 km le vent s'arrête enfin mais on est cuit de chez cuit, on décide de s'arrêter à la prochaine aire dans 15km. Les quelques voitures croisées hallucine un peu et s'arrêtent parfois en ne comprenant pas ce que c'est que cette petite lumière au milieu de la route.
A 22h et 137km on arrive, à 22h15 la tente est montée et on dort déjà dedans avec un réveil programmé à 4h. Il reste 90km pour Alice Springs.
A 2h : "C'est quoi ce bruit ?" "C'est rien, c'est le vent qui fait vibrer la toile de tente." "Merde"
A 4h30 on est sur les vélos ... avec le vent dans la tête. 12km/h, c'est reparti.
Je vous passe les pauses tous les 8km pour soulager les cuisses et on arrivera finalement à Alice Springs à 12h45, sous un ciel noir et quelques gouttes de pluie ! Mais coup de bol, les magasins de vélos ferment à 13h ! Donc on a au moins pas le sentiment d'avoir fait tout ça pour rien et celà nous aura permis de tester la route de nuit : c'est génial d'être à peu près tous seuls, mais c'est quand même super fatiguant pour les yeux, surtout avec les petites frontales, pas de lune et les cendres des feux de brousse. On reessaiera c'est sur, mais on attendra la lune !
Derniers coups bas de ces deux jours : le wifi marche pas au Mc Do et quand on arrive au Best Western pour enfin utiliser un bon cadeau dans un bon hotel (merci la famille Sivignon !) : "Ah non c'est pas valable ici" Ok. C'est too much, on se casse, on va planter notre tente, comme on le fait depuis 3 semaines.
Le lendemain après une rapide négociation, on aura quand même le droit d'y goûter pour avoir le meilleur lit et le meilleur repas qu'on ai eu depuis ... je sais plus. On est très bien dans notre tente mais il faut quand même l'avouer, des fois, ils ont bon goût ces riches.
2 jours de repos avec un peu de mécanique pour réparer un roulement, avec un peu de shopping pour trouver un abonnement internet mobile car c'est toujours la galère de trouver à se connecter, et un peu de logistique pour récupérer un nouveau jeu de piquets de tentes (merci Florian) et faire les provisions pour les prochains jours. Le tour de la ville est vite fait, une rue piétonne, des galeries d'art aborigène, des restos et deux supermarchés, le tout habité de plein de gens à la peau noire et de plein d'australien qui en ont peur. On ne compte plus le nombre de personnes qui nous en mis en garde de ne jamais laisser nos vélos sans surveillance car c'est le vol ou la dégradation assurée visiblement. Personnelement, on a eu aucun soucis, c'est sûrement exagéré mais il n'y a probablement pas non plus de fumée sans feu.
Finalement, les appréhension de Darwin sur la longueur de la route sont bien atténuées. : ca peut être très dur avec le vent mais c'est pas non plus insurmontable pour le moment et c'est moins monotone que prévu. Alors on a pas encore trouvé de raison de chercher un autre moyen de transport que nos vélos. Reste à savoir par quelle route : pour aller à Ayers Rock il y a une route principale goudronnée mais il parait que l'autre route et ses 200km de piste "tôle ondulée" est magnifique. Alors on a le moral, mais pour la piste ... pas sûr. A l'heure où j'écris, on est sensé partir d'ici une heure et on hésite toujours ...
Pour finir, le compte rendu météo (c'est marrant comme c'est un truc d'occidental ça, personne ne nous en parlait depuis des mois de la météo mais les australiens aiment visiblement bien eux aussi parler de la pluie et du beau temps.) Bref : fini les grosses températures la nuit, on a ressortit les sacs de couchage du fond des saccoches et on se réveille avec 10°C ou moins. Par contre c'est toujours 40°C à midi, ce qui nous fait une amplitude thermique de 35°C parfois dans la journée. C'est bien fait le corps humain non ? Et il a plu les deux dernières nuit ! La première fois depuis la Malaisie je crois, mais comme d'habitude, on dormait au sec :) Presque un an qu'on a pas eu la pluie sur la tente.
Les premières photos d'Australie sont en ligne !
37-17
Tout ça pour ça ... On est finalement arrivés à temps pour entendre la marseillaise mais le spectacle n'a pas été à la hauteur des kilomètres :(
Toujours est il qu'à Tennant Creek, un seul bar diffusait le match (en fait il y a un seul bar en ville non ?), et, ce samedi soir, le bar a fermé 10 min après le coup de sifflet final. 20h10. Tennant Creek ça bouge !
Bref, on repart demain après 3 jours de pause. 2 voulus et un forcé car je me suis bloqué le dos en réparant mon vélo. Car après les arceaux de la tente qui se désintègrent les uns après les autres, c'est mon moyeu arrière qui devra boiter encore 600km avant, je l'espère, pouvoir le faire changer chez Alice.
On a charger les mules de 6 jours de bouffe car on a pas tellement envie de payer 8$ pour un kilo de pates dans une station service paumée. alors il faudra pas que le vent nous jouent de mauvais tour !
Je fais vite, car je squatte la connexion internet de collègues touristes français. Car à Tennant Creek, internet, c'est pas gagné non plus ... C'était moderne l'asie en fait ! :)
Première à droite ... dans 1400 km
Partis il y a 10 jours de Darwin, à la pointe Nord du pays, on s'est doucement mis en jambe en passant par le Litchfield National Park. Au programme : des kangourous, des perroquets, des termitières de 6m de haut, quelques feux de brousses et surtout des "creeks", "cours d'eau" en australien, qui forment des cascades et bassins dans lesquels il fait bon se baigner. Mais la chaleur monte presque de jour en jour en ce moment alors on ne traine pas trop et on finit par deux étapes de 105 et 137km pour rejoindre Katherine d'où on écrit.
500 km en tout, un petit échauffement à l'échelle de l'Australie. Et on peut dire qu'on est chaud maintenant. 38°C à l'ombre à midi, et l'ombre il faut se la fabriquer avec la bâche de la tente et des arbres rachitiques sans feuilles. Entre 11h et 16h c'est la fournaise. A 18h il fait encore 34°C alors que le soleil se couche à 18h30 ; je ne sais pas si c'est la couleur rouge de la terre, mais en tout cas elle garde bien la chaleur. Alors c'est levé 5h30, 6h15 sur les vélo et roule. A ces heures, seuls les "road trains", ces gros camions qui tirent 4 remorques, et quelques pick-ups des mines alentours nous accompagnent. Les vans, caravanes, campings-car se réveillent petit à petit à partir de 9h et nous saluent en levant un doigt de leur volant, 2 quand ils ont la force et parfois même une main entière, mais quasiment tous nous font un signe, SANS KLAXONNER :) Ca fait vraiment du bien.
A part la chaleur, le plus désagréable reste donc l'odeur des kangourous. On les sent à des centaines de mètres à la ronde et sur certaines sections ça dure des kilomètres. Quand ils sont vivants, je ne sais pas, ils sont trop farouches pour pouvoir les approcher vraiment ; mais quand ils sont morts, surtout depuis quelques jours, c'est une certitude, un kangourou, ça pue. Et des kangourous en décomposition il y en a beaucoup ; un jour, on a arrêter de compter à 25 en moins de 2 heures. Alors c'est sûr, ils ne font pas le poids avec les "road trains" mais ils ne sont pas très malins non plus puisqu'ils ont visiblement plus peur de nous quand on s'arrête pour les photographier que d'un véhicule de 150 tonnes qui roule à 100km/h ... La nature est parfois bizarre.
Sinon, après 10 jours je ne suis toujours ré-habitué à voir des blancs partout et j'ai toujours l'impression que ce sont des touristes. Mais non, ils habitent vraiment ici, c'est leur pays. Enfin presque. A Darwin et maintenant à Katherine les aborigènes essaient de cohabiter avec les "colons" et ça n'a pas l'air facile. Le camping dans lequel nous logeons à Katherine a sa propre galerie d'art aborigène, comme il y en a plein à Darwin et Katherine. c'est LE gros business aborigène. Le proprio nous racontait ce matin que des richissimes européens, francais notament, viennent parfois pour acheter des collections entières. Ce n'est pas pour les revendre, c'est pour les garder et faire de l'argent en les louant pour des expositions dans quelques années, quand cet art aura quasiment disparu. Car de moins en moins d'aborigènes pratiquent cette peinture. Idem avec des photographes qui viennent photographier une "espèce en voie de disparition". Les "indigènes" comme certains disent ici, se font plus facilement remarquer par leurs éclats de voix dans les magasins, au milieu de blancs bien "éduqués" ou le soir quand des petits groupes de tous âges sortent de leur quartier et se retrouvent dans la rue, l'air agard, sous l'emprise de drogues plus ou moins douces, entre l'alcool et le "sniff" d'essence, en braillant sur les voitures ou les piétons. Des familles "normales" se promènent avec leurs enfants dans des poussettes, mais ce ne sont généralement pas ceux qu'on remarque. Et il paraît que cette marginalisation est encore plus flagrante à Alice Springs ... Ca ressemble à une bien triste situation avec deux sociétés parallèles et peu d'interaction.
Fin du moment "culturel" ; notre principale préoccupation en ce moment c'est la route, la chaleur et le ravitaillement ...
"Première à droite dans 1400km ..."
C'est à peu près ce que nous dirait notre GPS si il pouvait nous parler et nous guider jusqu'à Ayers Rock - Uluru pour les aborigènes.
Tennant Creek est à 650km avec un croisement sur la gauche, Alice Springs à 1200km et il y a encore 200km à faire, toujours tout droit, avant de tourner à droite pour aller voir le caillou au milieu du désert (qui est encore 200km au delà de l'intersection). En route : quelques pistes à droite ou à gauche avec de la "tôle ondulée" en terre battue en guise de revêtement, c'est à dire rien qui nous fasse vraiment envie par cette chaleur.
Heureusement, les australiens font bien les choses, en route ils ont posé quelques relais routiers avec des ambiances comme dans les films américain avec les barbus, les chapeaux, les gros camions, le billard et les publicités pour de la bière. En plus on pourra toujours compter sur les quelques centaines de vans sur la route pour nous ravitailler en cas d'urgence. Manque juste un peu d'ombre ...
Tennant Creek : 650km.
J-6 si tout va bien.
C'est parti.
Erratum :
La France joue le 24 septembre contre la Nouvelle Zélande en coupe du monde de Rugby. Donc pas le choix, il faudra être le 24 à 15h à Tennant Creek. Déjà que je vais rater France - Canada ce soir ...
"Allons enfants de la patriiiiiiiiiieeeuuuuhh !"
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